samedi 6 novembre 2010

Les chroniques d'un Incompris

Je le suis de certains, pas certain de tous, de toi en tout cas. Pourquoi. Toi, ce n’est pas moi pourtant même toit, même toi tu sais pas. Pourquoi. Va comprendre, un qu’on pris pour incompris mais insoumis et pour un sous mis, deux sous pris. Arrogant, argumentant, ah tu m’entends, pourtant même plus on ne s’entend. Incompris me voici.

Pourquoi cette pause, pourquoi la prose et pour quelle cause ? Pour qu’elle cause plus ? Isolé mais désolé, à moi le pavé, quelques mois passés désoeuvré, tu le sais c’est sorcier. Des hauts, des bas font débat c’est balaud, mais des hauts sans bas je sais pas. Tu t'en bats, on s’emballe et un mars.

Un père une mère pour une paire impaire çà se perd. Frère toc fait des sauts pèr, çà s’opère, le faire taire serait super. Produit d’une vie je ne produits rien ou de la merde qui ne se lit pas, ce que je dis ne vaut plus rien ce n’est que de l’air que tu ne respires pas. Du mépris pour ma plume sous ton poids de préjugés et je souhaite à cette plume d’être plus forte que tes pieds.

Jadis éclaireur, aujourd’hui illuminé, exemple déchu, maintenant déçue. Idées sans dessus dessous, sans sous je ne suis pas sûr, censure je ne suis pas fou. Me réaliser pour que tu réalises et peut être un jour me lises. Ça raconte des histoires, ça raconte mes histoires car seule celle-ci est pour toi, preuve d’une exception pour une exception dont je suis déception. Pas de hasards, des détails, plus de rimes, que des messages entre les lignes, voici le fouillis de l’incompris. Tu peux m’appeler Freddy et puis toi aussi.

Gary.

Ps : On peut rire de beaucoup de choses à condition d’être comme le stylo, habile.